Prénom: Emma
Nom: Ai
Sexe: Féminin
Âge: 14 ans
Date de naissance: 13/07/93
Taille: 5 pieds 3
Poids: 100 lbs
Physiologie: Ai est plutôt mince sans avoir la peau sur les os, elle a le teint très pâle naturel, même si elle reste longtemps sous le soleil, elle ne prendra aucune couleurs. Elle ressemble très portrait à une poupée de porcelaine hormis les habits. Sa peau est incroyablement douce et ses yeux d’un bleu hypnotisant. Elle n’a aucune expression facial autre que neutre. Elle n’a pas vraiment de style vestimentaire, elle porte se qu’on lui donne. Généralement son frère essaie de lui trouver des vêtements que les fille de son âge porte pour lui éviter plus de problème qu’elle n’en a déjà. La première fois qu’on la voit, on est tout de suite charmé et on dit d’elle qu’elle est « mignonne ». Mais une fois que l’on voit ces agissement on en pense tout le contraire.
Psychologie: Ai Emma est très différente des enfants normaux. Alors qu’elle venait tout juste de naître, le docteur se rendit compte que la jeune mère était sur le seuil de la mort. Il du donc confier l’enfant au père par erreur au lieu de laisser l’infirmière sans charger. Pour tout dire la jeune mère avait de grave problème cardiaque, mais avait incroyablement insistée pour porter un deuxième enfants, sachant qu’elle allait être une petite fille, malheureusement, son coeur cessa de battre ce qui la tua. Voyant cela, le père fut sous le choque et échappa l’enfant au sol. Et le nouveau né plongea la tête première.
On du retenir l’enfant plus de trois semaine pour des soins intensif. On remarqua aussi la façon d’agir de la fillette. Son comportement était très différent des enfants normaux. Au début on croyait qu’elle avait perdu tout réflexe, puisque lorsque l’on frappa juste à côté d’un enfant celui-ci sursaute et fond en larme, mais elle ne fit aucun des deux, seulement lorsqu’on lui lança délicatement une petite balle en mousse, l’enfant l’attrapa d’un coup.
On fit par la renvoyer chez elle, sans vraiment l’oublier. Pour tout dire elle fut suivit par l’hôpital, jusqu’à l’âge de 7 ans, la se fut un neurologue qui la prit en charge. Il fut consterné de voir sa façon de penser. Au premier coup d’oeil, Ai Emma, semblait être une personne dépourvu de sentiment. Elle ne souriait pas, ne paraissait pas mal alaise. Lors des premières consultation elle ne faisait que regarder les veilles homme droit dans les yeux et elle pouvait tenir plus d’une heure. Alors au bout d’une dizaine de rencontre, il décida de l’approcher autrement. Au départ il lui parlait de sa journée, ensuite des relation social qu’il avait avec sa femme, puis de ses propre problème. «...Ce n’est pas mon problème...» Voilà la première chose qu’elle lui dit. Même si ces paroles était emplit de méchanceté le neurologue fut fou de joie, puisqu’à partir de ce moment elle lui parla peu à peu d’elle, ne voulant pas l’entendre radoter les même chose.
Celui-ci constata qu’elle était beaucoup plus mature que n’importe quelle fillette de 8 ans. Seulement son raisonnement était plus qu’inquiètent. Elle n’avait aucun attachement pour quoi que ce soit hormis son frère aîné, qu’elle avait apprit à aimé avec le temps. De plus pour elle tuer une personne ne la dérangeait pas plus que de tuer un moustique une nuit d’été. C’est la que le neurologue se demandait s’il avait fait le bon choix de vouloir la faire parler. Mais c’était son métier. Seulement c’était la première fois en 40 ans de travail qu’il voyait un telle problème chez une fillette de 8 ans. Peu importe la souffrance qu’on lui administrait elle restait de glace, elle lui a même dit que lorsqu’on lui avait brisé le bras étant plus jeune, elle n’avait même pas criée ni remuer un sourcil. Elle s’était relever et replacer son bras elle même. Inutile de vous dire combien elle inquiéta le veille homme!
Histoire: Emma à une histoire bien à elle! Déjà que sa naissance avait été malheureuse, la suite les d’avantage. Dès son arrivé à l’école primaire on se moquais déjà d’elle par simple jalousie et autre raison tout aussi stupide que la première. Puisqu’elle ne parlait pas, elle était considéré comme une muette, ce qui laissait place au dénigrement d’Ai. On la laissait appart constamment souhaitant la rendre triste, mais son bonheur pour la solitude rendit les autres élève furieux. Puis on essaya de la faire rentrer dans un groupe de fille pour la virer avec méchanceté, mais il n’y aucun succès. Emma se contenta de s’en aller sans dire quoi que se soit. Quelque filles de la classe en firent même une obsession, pourquoi ne réagissait-elle pas? Pourquoi ne pleurait-elle pas? Elle firent tous pour qu’elle pleur d’ici la fin de l’année. Elles la poussèrent dans les couloirs, lui renversait son dîner, lui brisait son matériel scolaire, puis rien. Pas une larme, pas même un soupire.
Les choses continuèrent d’empirer, on lui mettait des insecte gluant dans son casier ou dans sa nourriture. Lui écrivait des méchanceté un peu partout dans l’école et certains élève allèrent jusqu’à lui faire des piège pour la blesser sérieusement. Mais aucune colère ne se manifestait chez elle.
Une fois en récréation on la coinça dans un coin de l’école où les surveillant ne pourrait la voir. C’était près d’un containeur, des poubelles était à côté de celui-ci et on y poussa Ai dedans. À cause de l’impacte un des sac se déchira sous le pois de l’enfant. Son visage garda la même expression. Un des gamins prit son regard pour un expression de dominance malgré sa position. Il lui empoigna le bras et la retourna sur le dos pour lui faire une prise que les policiers utilisait souvent pour neutraliser les fugitif. Fou de rage il mon ta son bras au plus haut jusqu’à se qu’il entende et ressente un craquement sinistre et un déchirement. Puis il se retira de sur la jeune fille, une des étudiante fut traumatiser par le bruit qu’elle entendit et s’évanouie sous peu. Ai se releva et se retourna vers ses agresseurs. Ses yeux était empli de colère, mais son expression resta de glace. D’un geste écoeurant, elle replaça son bras en quelque instant. Puis elle pencha pour sortir quelque chose du sac qu’elle avait déchirer pas accident. En se redressant les autres élèves aperçu l’immense morceau de vitre briser qu’elle tenait de sa main droit, celle qui était intacte. Elle se serrait tellement fort qu’elle fendit elle même sa main, mais sa lui importait peu. Elle les regardait à tour de rôle et leur dit de sa voix glacial: « mourrez ...tous ». Puis elle fonça vers eux. Les enfants comprirent qu’elle ne plaisantait pas et commencèrent à courir et à crier. Des surveillants allerent à leur rencontre, mais Emma put arracher le bras d’un des petits garçons, celui-ci qui lui avait brisé le bras gauche. Un des surveillant l’attrapa par le bras et Ai s’arrêta sous le choc. Elle resta complètement immobile. Peu importe elle lui avait fait payer de toute façon.
Le soir même le père d’Emma reçu une lettre expliquant tout se qui s’était passer et qu’elle était renvoyé de cette école. Le jeune homme se sentit fautif, puisqu’on lui avait donné le choix entre la faire aller à une école normale ou une école spécialiser pour des enfants comme elle. Son frère aîné suggéra de déménager pour éviter qu’on s’en prenne à Emma et cette idée fut accepter.
Ils atterrirent donc dans un village éloigné des grandes villes. Ils si installèrent et remarqua qu’il n’y avait qu’une école. Saito sourit et dit à sa petite soeur qu’elle n’avait pas à s’inquiété puisqu’il allait être avec elle constamment. Mais un jour, on rapporta la disparition de Saito, le grand frère d’Emma. La jeune fille manqua des semaine d’école affin de retrouver son frère et lorsqu’elle le retrouva il était en décomposition à l’orée de la forêt dans un buisson. Ce fut la première fois qu’on l’entendit crié avec une telle puissance qu’elle sens époumona. «SAITO, SAITO, SAITO, SAITO!! ».
Si se n’était pas tout le village qui accoururent, sens était bien plus que la moitié. Ils virent la jeune fille prendre le cadavre dans ses bras pour le coller à elle. Son père vint à ses côtés pour revoir son fils, seulement il n’y resta pas bien longtemps, puisqu’il gerba un peu plus loin constatant l’état de son fils unique. Ai le relâcha et se leva, tête baissé et marmonna: « Je vais te trouver... Et te tuer... Soit en sur...». La jeune fille tourna les talons et fendit la foule en deux cherchant un coin ou elle pourrait penser seul.
But: tuer la personne qui a assassiné son frère aîné.
Autres: non
Commentaires: Dromadaire vert
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Lun 17 Déc - 15:13